Le sergent-chef sort de son bureau, le messager l'interpelle aussitôt:
- Sergent ! Dans la mairie, un cadavre, s'essoufflait le messager
- Vous avez dépêché des hommes ?
- J'attendais vos ordre
- Qu'on envoie mon régiment complet, répliqua le sergent-chef.
Sur ces phrases, ce sont une trentaine d'hommes qui partent précédé de leur sergent-chef en direction de la mairie. Le bâtiment est encerclé et un groupe de cinq hommes sont envoyés à l'intérieur. Après un coup d'œil rapide dans la salle d'entrée, ils pénètrent dans la salle principale où ils se retrouvent face à deux mort-vivants les bras levés.
Un homme sort du bâtiment:
- Sergent, on a fait deux prisonniers, il n'ont pas résisté et ont déposé les armes immédiatement !
- Emmenez les dans la cellule 3 pour être interrogés
- Bien, répondit l'homme en s'éloignant.
Sergueï entre dans la cellule sans broncher, elle est étroite, 6m² environ. Pour mur des barreaux en métal noir munis d'une porte à la serrure épaisse. Il jette un coups d'œil rapide autour de lui, il est dans une cellule au centre d'une pièce d'environ 15m². Il y a une porte en bois à l'opposé de la sienne et devant celle-ci se tient un homme. Il est carré, musclé au teint pâle et à l'armure dorée, à son habit on peut voir qu'il est gradé.
- Peut-être pourriez vous éclaircir ma lanterne, réprouvé ?
- Qui êtes vous ?
- Sergent-chef Lawdzik. Que cherchiez vous dans la mairie et pourquoi ?
- Des documents secrets.
Pendant qu'il parlait lentement, Sergueï cherchait quelque chose, quelqu'un du regard... Lawdzik l'interrompit:
- Vous cherchez votre collègue ?
- Que lui avez vous fait ?
- Disons qu'une fois que vous avez été emprisonné elle a été moins calme que vous...
- Elle ne peut pas mourir, dit Sergueï avec une pointe d'ironie.
- Selon vous en tout cas, se défendit Lawdzik avant de se lever et de sortir de la salle.
- Attendez, chien d'humain ! Ordure !
La porte claqua.
[HRP] Je viens d'écrire ça rapidement donc c'est pas du tout au point sur les formulations / tournures de phrase.[/HRP]